Pourquoi le coton bio de VEJA est-il si différent ?
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Pourquoi le coton bio de VEJA est-il si différent ?
Depuis 2004, nous travaillons sur le terrain avec des producteurs de coton biologique.
Nous avons commencé en 2004, avec 30 producteurs de l’agriculture familiale, qui plantaient haricots, coton, graine de sésame, mais nous avons appris à partir de 2004 ce qu’était l’agroécologie, une manière de cultiver qui enrichit les sols au lieu de les détruire.
Aujourd'hui, VEJA travaille avec près de 1 200 familles et plus de 22 associations basées au Brésil et au Pérou.
Le coton bio brésilien vient uniquement de l’agriculture familiale, le coton péruvien est un projet verticalisé depuis 1987, un exemple mondial.
Cette année, VEJA paie 24,77 R$ par kilo de coton, soit près de 50 % de plus que le prix du marché. En 2021, nous payions 18,72 R$ par kilo de coton, et en 2020, nous avons payé 17,94 R$ par kilo.
Le prix du coton biologique est déterminé en avance avec les producteurs. VEJA établit un contrat de deux ans garantissant l'achat de leur coton bio à un prix fixé, ce qui leur permet d’avoir une visibilité, dépassant 2 ou 3 récoltes, ce qui est l’un des problèmes majeurs de l’agriculture mondiale : quand un producteur plante une graine de coton, il ne sait pas combien il vendra le kilo de coton issu de cette graine.
Ces prix comprennent une prime pour les producteurs et les associations qui leur permet de mettre en oeuvre plus de pratiques agroécologiques et régénératives. Cela signifie que ce coton est récolté dans le même champ que d'autres cultures de subsistance, comme le maïs, le sésame ou les haricots. Il est cultivé sans engrais chimiques ni pesticides. Contrairement aux exploitations intensives de coton, chaque culture donne des apports naturels différents au sol tout en l'enrichissant.
4 membres de l’équipe travaillent quotidiennement dans le Nordeste brésilien avec les producteurs de coton bio, sans intermédiaire. La différence de VEJA : travailler directement sur le terrain, savoir exactement d’où viennent les matières premières, qui les cultivent.
La transparence ou traçabilité, appelez cela comme vous voulez, nous l’appelons travailler sur le terrain.